Latortue prône la mise en place d'un système national de sécurité
Le président de la commission sénatoriale justice et sécurité, Youri Latortue, préconise l'adoption de dispositions en vue de trouver une solution structurelle au problème de l'insécurité.
L'ancien officier des Forces Armées d'Haïti (FADH) recommande la professionnalisation de la police, la mise en place d'une nouvelle force de sécurité et d'un système général d'intelligence. Il estime que l'action combinée de ces 3 entités garantira une réaction immédiate en cas d'acte de violence et dissuadera les criminels.
Rappelant que la structure de sécurité est très faible en Haïti, le chef de file de AAA soutient que cette faible structure est pratiquement inexistante en période de transition politique.
En dépit de leur bonne volonté l'effectif réduit des policiers privés de matériels adéquats ne peut répondre convenablement aux agressions des criminels prévient le parlementaire. Ajouté aux insuffisances de la PNH, l'absence de leadership favorise une reprise des activités des bandits.
Dans le même temps le président de la commission sécurité critique les autorités policières qui n'ont pas modifié le déploiement dans la région métropolitaine depuis 6 mois. Il rappelle qu'un redéploiement doit être réalisé chaque trimestre.
Le parlementaire note également qu'il y a une recrudescence de l'insécurité à mesure qu'on s'approche de la fin du mandat de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti (Minustah). Interrogé sur le rôle de la Minustah le sénateur Latortue a fait remarquer que les règles d'engagement limitent l'action de cette mission.
En raison de ces contraintes le sénateur Latortue croit que le retrait de la Minustah et la mise en place d'une nouvelle force publique est un élément clé dans les efforts consolidation du climat sécuritaire.
L'ancien officier des Forces Armées d'Haïti (FADH) recommande la professionnalisation de la police, la mise en place d'une nouvelle force de sécurité et d'un système général d'intelligence. Il estime que l'action combinée de ces 3 entités garantira une réaction immédiate en cas d'acte de violence et dissuadera les criminels.
Rappelant que la structure de sécurité est très faible en Haïti, le chef de file de AAA soutient que cette faible structure est pratiquement inexistante en période de transition politique.
En dépit de leur bonne volonté l'effectif réduit des policiers privés de matériels adéquats ne peut répondre convenablement aux agressions des criminels prévient le parlementaire. Ajouté aux insuffisances de la PNH, l'absence de leadership favorise une reprise des activités des bandits.
Dans le même temps le président de la commission sécurité critique les autorités policières qui n'ont pas modifié le déploiement dans la région métropolitaine depuis 6 mois. Il rappelle qu'un redéploiement doit être réalisé chaque trimestre.
Le parlementaire note également qu'il y a une recrudescence de l'insécurité à mesure qu'on s'approche de la fin du mandat de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti (Minustah). Interrogé sur le rôle de la Minustah le sénateur Latortue a fait remarquer que les règles d'engagement limitent l'action de cette mission.
En raison de ces contraintes le sénateur Latortue croit que le retrait de la Minustah et la mise en place d'une nouvelle force publique est un élément clé dans les efforts consolidation du climat sécuritaire.
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